27/11/2014

Fiat 500 "1957 Edition"

A l’occasion du salon de Los Angeles qui ouvrira le 22 novembre prochain, Fiat donne à sa 500 actuelle des airs de son ancêtre avec la "1957 Edition".
 


Vous trouviez la Fiat 500 trop "néo-rétro"? Vous la rêviez un peu plus "rétro-rétro"? Vos souhaits sont exaucés puisque la firme italienne vient de dévoiler une édition spéciale qui fera ses débuts au salon de Los Angeles le 22 novembre prochain: la Fiat 500 "1957 Edition".









Son inspiration, elle la puise tout simplement dans la première Fiat 500 prote. "La 1957 Edition célèbre la 500, l’icône de notre marque, et son style si italien" commente Jason Stoicevich, à la tête de la marque aux USA. "Elle a été créée pour les fans de voitures et de design italien qui veulent retrouver l'esprit de la 500 d’origine".
Parfum de nostalgie


 
Avant cette Fiat 500 "1957 Edition", Volkswagen avait déjà joué la carte nostalgie il y a tout juste un an sur le même salon californien. Il nous avait concocté trois éditions spéciales de sa Coccinelle Cabriolet en référence aux années 1950, 1960 et 1970.

C’est un peu la même soupe qui nous est servie chez Fiat avec des éléments esthétiques inédits replongeant la mini-citadine dans le passé. A commencer par ses couleurs pastels comme le bleu "Celeste" des photos, mais également un blanc ou un vert "Chiaro". Le toit reste lui toujours peint en blanc, tandis que les jantes façon tôle de 16" reprennent la teinte de la carrosserie et le logo Fiat de l’époque.
Aussi en Europe?

 

A l’intérieur de cette Fiat 500 "1957 Edition" les changements se limitent à l’ajout de cuir marron sur les sièges, le pommeau de vitesses et les contreforts de portes, contrastant avec l’ambiance ivoire du reste de l'habitacle.

Sous le capot vient se loger le bloc 1.4 litres de 100 chevaux, associé à une boîte manuelle à 5 rapports, ou automatique à 6 en option. A noter également que cette édition spéciale intègre un mode "Sport" et des suspensions raffermies.

Reste maintenant à attendre sa présentation et une éventuelle annonce de sa commercialisation en Europe.


26/11/2014

Redécouvrez la mythique Vespa !

Vraie guêpe avec sa taille fine, ses flancs ronds et son moteur qui bourdonne, le scooter créé en 1946 par Piaggio revient en 2013, baptisé 946. Entre-temps, Vespa a conquis le monde.


C’est l’expression du design le plus abouti. Quand l’esthétique épouse parfaitement la fonction. Ou le contraire. C’est l’histoire du capitalisme italien, de ses grandes familles. Celle de la mondialisation aussi. Une icône de la société de consommation qui raconte le monde tel qu’il va. "Sembra una vespa !", s’écria Enrico Piaggio, quand l’industriel découvrit les premiers croquis du deux-roues au lendemain de la guerre. "On dirait une guêpe !", en effet, cette moto avec sa taille fine, ses flancs arrondis et le bourdonnement de son moteur ! Vespa… Le nom est resté. Et la marque est devenue une légende. Depuis 1946, 18 millions de ses scooters ont été vendus dans le monde. Et voici qu’en 2013 arrive la Vespa 946, hommage au premier modèle, le prototype MP6, avec sa carrosserie monocoque en guise de châssis, qui enveloppe le moteur, la transmission, la batterie et la boîte de vitesses. Un retour vers le futur pour… 7.500 euros.

Quand commence la saga Vespa, il ne reste pas grand-chose de l’usine Piaggio à Pontedera, près de Pise. Elle a été bombardée par les Alliés. L’industriel, qui fabrique des trains et des avions de chasse, doit se reconvertir. "L’idée était de motoriser l’Italie, de faire entrer le pays dans la modernité", explique David Nadjar, un passionné de scooters qui brigue ces jours-ci, au côté de sa femme, la présidence du Vespa Club de France.


Un calendrier avec des pin-up

Chez Piaggio, un ingénieur aéronautique, Corradino d’Ascanio, imagine une moto qui se conduit en position assise. Tellement pratique pour la ragazza en jupe serrée ou le Don Camillo en robe noire ! L’histoire raconte qu’il dessina d’abord une personne dans un fauteuil avant d’imaginer le véhicule. Autre coup de génie, en cas de crevaison, les roues, fixées à un bras autoporteur, comme le train d’atterrissage d’un avion, se changent en quelques minutes, sans devoir faire appel à un mécanicien. Une des premières publicités de Vespa, en 1946, un dessin au pastel, montre une jeune femme souriante en tailleur bleu, filant sur son scooter rouge, levant nonchalamment le bras droit, l’air de dire : "Regardez comme c’est facile, j’y arrive, et d’une seule main qui plus est."

Plus tard, à partir de 1951, bien avant celui de Pirelli, un calendrier mettra en valeur les nouveaux modèles de la marque avec des pin-up dans des positions extravagantes sur leur machine : Ursula Andress, Mylène Demongeot ou Romy Schneider. Vespa aussi sait faire la star. En 1953, elle joue les premiers rôles avec Audrey Hepburn dans Vacances romaines. L’actrice, installée en amazone derrière Gregory Peck au début du film, ne tarde pas à prendre le guidon et à filer en toute liberté dans les rues de Rome. Puis ce sera La Dolce Vita de Federico Fellini, où les paparazzis poursuivent sur le fameux insecte mécanique la sublime Anita Ekberg. Un peu plus tard, en 1963, à la veille de grandes révolutions de la jeunesse, Vespa fait la sienne en lançant la Vespina, une petite cylindrée de 50 centimètres cubes qui se conduit dès l’âge de 14 ans, sans permis ni assurance.

 "La Vespa est comme les Italiens"

Dix ans après la naissance de la première Vespa, il s’en est écoulé 1 million, en Europe, mais aussi en Amérique et en Asie. Vespa, avec un petit v, devient un nom commun pour dire scooter. "C’est l’idée la plus innovante que l’Italie ait eue depuis l’invention du char de la Rome antique", écrit le quotidien anglais The Times, qui compare sa réussite à celle de la Ford T. Et le magazine Fortune classe la Vespa parmi les 100 premiers objets design ayant remporté un succès mondial, comme le racontent Valerio Boni et Azzurra Della Penna dans leur très beau livre Vespa (Editions de La Martinière). Dès la fin des années 1950, des usines d’assemblage sous licence fleurissent partout, comme Acma, en France, qui sortira même une version militaire équipée d’un canon, sans succès, mais aussi au Brésil et en Inde. "La Vespa est comme les Italiens, affirme l’écrivain-voyageur australien Peter Moore. Bruyante, nonchalante, peu pratique et pourtant élégante et simple."

Très vite, ce scooter si particulier, avec ses roues de 10 pouces de diamètre, son changement de vitesse sur la poignée gauche et sa pédale de frein arrière sur le plancher, a des fan-clubs aux quatre coins du monde. Les vespisti (vespistes), hommes et femmes, viennent de toutes les catégories sociales, toutes les générations. "Une légende parmi tant d’autres raconte qu’il faudrait attribuer au comte Francesco Leopardi, aristocrate italien, le double mérite d’avoir suggéré dès 1944, à son ami Enrico Piaggio, de reconvertir ses usines vers la création d’un deux-roues populaire, mais surtout d’avoir fondé à Ancône, dès l’automne 1946, le premier regroupement d’utilisateurs", écrit David Nadjar dans son livre Vespa & clubs de France. On en compte plus de 100.000 en 1956, au plus fort du mouvement en Europe. Les vespistes se réunissent par villes, régions ou pays, organisent des balades dominicales, animent des ateliers techniques, éditent des revues et participent à des rassemblements populaires comme le Sciame d’argento (l’Essaim d’argent) à Milan en 1948, mais aussi à des courses mythiques, tel le Giro dei tre mari (le Tour des trois mers) en 1953.


Certains modèles historiques se vendent 70.000 euros

Aujourd’hui, il existe plusieurs centaines de Vespa clubs chapeautés par Piaggio, qui a décidé de reprendre en main le mouvement ces dernières années. C’est d’ailleurs un salarié de Piaggio, Marco Manzoli, qui est secrétaire général du Vespa World Club, et supervise les Vespa World Days, qui, chaque année, réunissent dans une grande ville d’Europe des aficionados du monde entier. Le dernier rassemblement a eu lieu à Londres, quelques jours avant l’ouverture des jeux Olympiques.

Toutes ces manifestations donnent l’occasion de découvrir des modèles magnifiquement restaurés. Un vrai business de nos jours. Il suffit de jeter un coup d’œil sur Leboncoin.fr pour comprendre l’ampleur du phénomène : plus de 8.000 réponses apparaissent à la requête "Vespa". Pistons, fourches, amortisseurs, jantes, livrets techniques et vieux scooters… "Récemment, un modèle restauré des années 1947-1948 a été vendu 70.000 euros", raconte Jean-Louis Cruvellier, un ancien président du Vespa Club de France, qui vient de publier 260.000 km en Vespa (éditions Atelier des livres).


Une copie indienne qui coûte 1.000 euros de moins

Un modèle de 1946, restauré par un Italien de Varèse, est parti au Canada pour 53.500 euros. "Au Danemark, j’ai vu une Vespa de 1953 dans son jus à saisir pour… 14.000 euros", relate David Nadjar. Et, comme toujours quand les prix s’envolent, les contrefaçons pullulent, en provenance d’Asie, pour quelques poignées de dollars. "Beaucoup sont fabriquées dans des petits ateliers au Vietnam où Piaggio a ouvert une usine en 2009, explique un employé de Motori Italiani, spécialiste du scooter vintage à Paris. On dirait des modèles -anciens mais tout est bricolé. Les rondelles de calage sont faites avec des canettes et les filtres à air avec du papier journal."

Il existe aussi des copies légales du célèbre PX, le modèle mythique de Vespa lancé en 1977, fabriqué en Inde par LML. Cet industriel avait signé un accord technologique avec Piaggio en 1984, puis mis un terme à leur joint-venture quinze ans plus tard. Il continue d’exporter son scooter dans le monde. En France, il vaut 1.000 euros de moins que le modèle original. Une famille napolitaine a eu l’idée de venir concurrencer Vespa sur ses terres en jouant la carte des coloris, façon Benetton, avec selles de couleur rose et carrosseries vert gazon.

Source : challenges.fr

25/11/2014

La rumeur d'une édition ultra-limitée de la Panamera

La rumeur d'une édition ultra-limitée de la Panamera avait fait son entrée en piste au mois de septembre 2014. Elle est désormais validée puisque Porsche a officiellement dévoilé ce jeudi 30 octobre la nouvelle déclinaison de son bolide de prestige baptisée Panamera Exclusive Series.


Le luxe, encore et toujours...
Visuellement, cette version Panamera Exclusive Series basée sur la Turbo S (avec tout de même un empattement de 150 mm plus long) est des plus luxueux, sans doute grâce à sa teinte graduée entièrement réalisée à la main. Une peinture noire métallisée recouvre la quasi-intégralité de la carrosserie mais une rupture est marquée par un coloris marron-châtain très sobre en-dessous des poignées de portes.

Les grilles d'entrée d'air avant et les jantes 20 pouces sont également recouvertes d'un noir métallique très classe, histoire de renforcer l'harmonie esthétique du modèle.


Un habitacle soigné et technologique
L'intérieur emprunte la même ligne de conduite adoptée par l'extérieur avec des finitions élégantes et luxueuses, les coloris noir et marron-châtain étant également de la partie. Mieux, tous les sièges (dont la forme de l'écusson Porsche est présente sur ces derniers) et panneaux de porte inférieurs sont recouverts de cuir Poltrona Frau, une matière réputée pour sa qualité en termes de confort.


Technologique, l'habitacle est équipé de base de deux écrans tactiles haute résolution de 10,1 pouces à l'arrière avec lecteur DVD et caméra intégrés. 

En option, la marque allemande propose un ensemble de cinq bagages réalisés eux-aussi en cuir Poltrona Frau et une plaquette décorative fabriquée à la main est installée sur le tableau de bord, indiquant le numéro de l'exemplaire.




Un V8 biturbo de 570 ch
En termes de performances techniques, cette Porsche Panamera Exclusive Series n'est pas en reste et adopte le V8 4,8 l biturbo développant une puissance 570 ch associé à un couple de 750 Nm.

Avec une transmission PDK, le bolide allemand est capable d'abattre le 0-100 km/h en 3,9 secondes pour une vitesse maximale de 310 km/h et consomme en moyenne 10,5 l/100 km pour des émissions de CO2 de l'ordre de 245 g/km.

Editée à seulement 100 unités, ce nouvel engin de luxe signée Porsche est d'ores et déjà ouverte à la commande. Mais pour pouvoir vous procurer un exemplaire, il vous faudra débourser au minimum environ 250.000 euros. Pour les plus rêveurs d'entre vous, le modèle sera présenté au grand public le 18 novembre prochain lors du Salon de Los Angeles 2014.

Source : tf1.fr

24/11/2014

Volkswagen Golf R Variant 2015

Volkswagen profite du salon de Los Angeles pour dévoiler une nouvelle version dynamique de la Golf  break… la Golf R Variant (ou SW) qui permet au constructeur de Wolfsburg de disposer dans sa gamme du break compact le plus pêchu du marché.





A l’avant  la Golf R Variant reprend l’avant de la berline et à ce titre dispose du même pare-choc spécifique avec notamment de grandes prises d’air, une calandre distinctive (avec logo R) ainsi que des phares bi-xénon avec des feux de jour intégrés. Les feux diurnes à leds sont toujours situés sous les phares.
Le profil de la Golf R Variant s’habille de bas de caisse, de quelques logos, de coques de rétroviseurs de couleur « chrome mat » et d’un entourage de vitrage noir mat qui doivent assurer une allure sportive à l’ensemble.
A l’arrière, on découvre un bouclier modifié qui reprend les codes du design R et intègre un diffuseur noir brillant encadré par quatre sorties d’échappement chromées. Le hayon s’équipe d’un becquet associé à deux volets aérodynamiques qui prolongent les montants D de l’auto. On découvre aussi des feux arrières « rouge cerise » et un éclairage de plaque d’immatriculation à leds.
Bien sur la Golf R Variant dispose du même chassis surbaissé que la berline et profite des mêmes jantes alu 18 pouces de série (modèle Cadix) chaussées en 225/40 R 18. En option le break peut s’équiper de jantes en 19 pouces (modèles Cadix ou Pretoria).



Comme la berline, la version Variant est propulsée par le moteur L4 2.0 L TSI EA888 qui délivre 300 ch à 5500 trs/min et 380 Nm de 1800 à 5500 trs. Ce moteur est ici associé de série à la boite de vitesse DSG6 et à la transmission intégrale 4Motion avec système Haldex de 5eme génération qui gère la répartition de la puissance et du couple automatiquement en fonction des conditions de route et d’adhérence.
En plus du système Haldex, la transmission de la Golf R Variant dispose de 4 différentiels électroniques (EDL) associés à l’ESP et du XDS+ qui agit sur les trains Av et Ar pour freiner les roues à l’intérieur d’un virage de façon à réduire le sous virage lors des passages un peu rapides.
L’ESP de cette Golf R Variant possède plusieurs modes de fonctionnement qui permettent au conducteur de se libérer des contraintes des « béquilles » électroniques.
Cette voiture de sport dans un corps de break avance une Vmax autolimitée à 250 km/h, plie l’exercice du 0 à 80 km/h en 3.8 secondes et celui du 0 à 100 en seulement 5.1 secondes. Ce break très dynamique revendique une consommation mixte de 7.0 L/100 km et des émissions de CO2 de 163 g/km.


L’habitacle est identique à celui des versions 3 ou 5 portes avec notamment des sièges sport à l’avant en tissu et Alcantara avec coutures décoratives grises et logo R brodé sur le dossier des dits sièges. Le mobilier noir s’habille d’inserts en fibre de carbone, de pièces noires laquées et de quelques décorations chromées. On retrouve les fameuses aiguilles bleues, le volant avec méplat revêtu de cuir noir, un pédalier avec repose pied en aluminium et des surtapis spécifiques.


Bien évidemment ce break Golf profite d’un grand volume de chargement qui fera le bonheur des pères de famille pressés puisque le coffre annonce une volume utile de base de 605 dm3 soit 262 dm3 de plus que celui d’une Golf R berline.
Bien que présenté aux USA, ce break Volkswagen sportif sera disponible d’abord en Europe puis un peu plus tard aux USA. Il arrivera sur nos marchés dans le courant du printemps 2015 et les livraisons débuteront avec les premiers jours de l’été.

Source : blogautomobile.fr

20/11/2014

Smart Forfour : la même en grand

Tout en restant très compacte, la Forfour acquiert une vocation familiale qui fait défaut à la Fortwo. Elle profite également de son empattement allongé pour se montrer plus à l'aise sur la route. Une polyvalence qui lui permet d'espérer faire de l'ombre à des citadines aussi affirmées que la Fiat 500 et la Mini.



LE CONCEPT



La nouvelle Forfour est bien la grande soeur de la Fortwo (voir notre essai du 7/11/2014) et non la descendante de la première Forfour. Produite entre 2004 et 2006, celle-ci était en effet le fruit d'une collaboration avec Mitsubishi Motors, alors partenaire de Mercedes-Benz. Basée sur la Colt, modèle 2003, c'était donc une traction qui n'avait rien de commun avec la Fortwo d'alors. La Forfour d'aujourd'hui partage, elle, tout ou presque avec sa petite soeur. Et tout autant avec la nouvelle Twingo puisqu'elle est le fruit d'un projet commun mené par Smart et Renault. Elle est d'ailleurs produite aux côtés de sa cousine française en Slovénie, dans l'usine de Nove Mesto.



CE QUI CHANGE



Avec 3,49 m, la Forfour est donc plus longue de 80 cm que la Fortwo. Elle n'en reste pas moins très compacte puisqu'elle se révèle, par exemple, plus courte de 5 cm que la Fiat 500, pourtant dotée de deux portes seulement. Les faces avant et arrière étant identiques à celles de sa petite soeur, l'allongement profite donc essentiellement à l'empattement, et donc à la taille de l'habitacle. La base technique est, elle, exactement la même, que ce soit en matière de trains roulants ou de motorisations. On retrouve donc un moteur trois cylindres essence "made in Renault", logé sous le plancher du coffre, et des roues arrière motrices.



Au lancement, le 22 novembre prochain, seule la version 1 litre atmosphérique de 71 ch sera proposée avec la boîte manuelle à 5 rapports. Le 900 cm3 turbo de 90 ch et la boîte double embrayage à 6 rapports seront, eux, disponibles au deuxième trimestre de l'année prochaine. Calquée sur celle de la Fortwo, la gamme s'articule autour de quatre niveaux de finition : Pure, Passion, Prime et Proxy. Avec un supplément de 900 € pour les quatre portes qui met l'entrée de gamme à 11 600 € (Pure 71 ch BVM5) et le haut à 18 900 € (Proxy 90 ch DCT6).


















LA VIE À BORD



La Forfour accueille très convenablement quatre adultes à son bord. À l'arrière, l'espace aux genoux est correct, mais la garde au toit est un peu juste pour les grands gabarits. Les énormes appuis-tête intégrés aux sièges avant bouchant l'horizon et les vitres ne faisant que s'entrebâiller, on s'y sent surtout un peu "claustro". La banquette rogne sur le coffre, puisque celui-ci perd 75 litres par rapport à la Fortwo, pour ne plus proposer que 185 litres, soit exactement comme la Fiat 500. Dès le niveau Passion, une fonction "cargo" permet toutefois de redresser les dossiers et de gagner un peu de volume de chargement. Ces dossiers se rabattent par ailleurs complètement, libérant alors une surface quasiment plane d'environ 1,30 x 1 m qui permet d'embarquer jusqu'à 975 litres de bagages en utilisant l'espace jusqu'au plafond.




À noter également une option "readyspace" (260 €), en permettant de retourner très facilement l'assise des sièges arrière, fait gagner 12 cm de garde au toit. Avec les portes arrière qui s'ouvrent pratiquement à angle droit, le transport d'objets volumineux, genre grosse valise, s'en trouve facilité. Les objets longs, jusqu'à 2,20 m, peuvent, eux, être chargés en rabattant le dossier du siège avant passager. La présentation intérieure, bicolore avec planche de bord recouverte de tissu technique dès le niveau Passion, est identique à celle de la Fortwo. De même que la dotation en équipement, qui propose le grand écran multimédia central avec navigation intégrée en série à partir du niveau Prime. Le toit panoramique fixe est toujours monté à partir de la finition Passion, mais la Forfour y ajoute, en option (1 000 € sur Pure et Passion, 500 € avec Prime et Proxy), un grand toit en toile à ouverture électrique.

Source : lepoint.fr

19/11/2014

McLaren Sport Series 2015 : un nom pour la future tueuse de 911

Connue auparavant sous le nom P13, la "baby McLaren" se confirme en ce mois de novembre avec son nom Sport Series, une structure en fibre de carbone, un V8 en position centrale arrière, et un lancement au printemps 2015.


Petit à petit, McLaren fait son nid dans le cercle concurrentiel des voitures de sports. Suite à la MP4-12C de 2010, devenue 650S en 2013, et l'hypercar hybride P1 de 916 chevaux, la firme de Woking est prête à dévoiler son troisième modèle.





Sport Series ?
Jusqu'à présent, les anglais n'avait utilisé que le nom de code P13 pour désigner sa future petite sportive. Désormais, il faudra l'appeler Sport Series, son nom définitif.
 
Curieux, mais évocateur, ce patronyme indiquerait "une nouvelle voie, un changement des règles du jeu" dans le segment formé par les Porsche 911, Mercedes-AMG GT, Aston Martin Vantage, Jaguar F-Type ou la future Maserati Alfieri. Encore plus ambitieux, McLaren "lancera un défi à la norme de ce segment, s'écartant de ce qui a été créé jusqu'à présent."
 

Carbone et V8 au programme
En tous cas, la marque s'appuiera sur ses acquis, avec un châssis en fibre de carbone à l'instar des grandes sœurs, ainsi qu'un moteur V8 en position centrale arrière, dont la puissance est inconnue mais se situera autour de 500 ch. Comme le suggère le nom, plusieurs déclinaisons seront proposées, au moins un Coupé et un Spider. Quant au poids, nous l'attendons aux alentours des 1.200 kg.

Source : tf1.fr

18/11/2014

La Jaguar F-Type R adopte les 4 roues motrices pour 2015

Simple propulsion à l'origine, la F-Type cède aux 4 roues motrices pour le Salon de Los Angeles, Jaguar proposant cette version sur la seule livrée R au moteur V8 550 chevaux, de quoi abaisser le 0-100 km/h à 4,0 secondes.
 

La puissance pure ne compte plus autant que par le passé, la tendance est à l'efficacité et aux 4 roues motrices, ce qu'a compris par exemple Mercedes-Benz, avec ses dernières S 63 et E 63 AMG. Jaguar en prend donc de la graine et adopte ce type de transmission pour sa récente F-Type, spécialement pour viser le marché américain... et la Porsche 911 Carrera 4.
 

Encore plus rapide
Née propulsion, la sportive au félin passe donc aux 4 roues motrices, sur la version la plus puissante R, menée par le 5,0 litres V8 de 550 chevaux et 680 Nm. En conséquence, l'accélération est bien plus vive, le 0-100 km/h passant de 4,2 à 4,0 secondes, la vitesse maximale campant à 300 km/h. La marque anglaise précise avoir "maintenu le caractère de la propulsion si cher aux sportives Jaguar". Par contre, il n'a pas été précisé si la carrosserie Cabriolet sera concernée ou non.
 

Au passage, la F-Type s'associe au projet Bloodhound SSC, le bolide-fusée visant le record de vitesse sur Terre, détenu actuellement par la Thrust SSC avec 1.227,7 km/h. L'ambition est de battre cette vitesse en 2015, et de passer la barre symbolique des 1.000 miles/heure (1.609 km/h) en 2016.
 

Le tarif de cette Jaguar F-Type R 4 roues motrices, qui sera présentée le 19 novembre au Salon de Los Angeles, est inconnu mais tournera aux environs de 108.000 euros.
 
Source : tf1.fr

17/11/2014

1 340 ch pour la Koenigsegg Agera One:1

Avec son rapport poids/puissance de 1 (1 340 chevaux pour 1 340 kg), la Koenigsegg Agera One:1 revendique le titre de voiture la plus rapide au monde. Elle serait capable d'atteindre 440 km/h en vitesse de pointe.


Oubliez la puissance de la McLaren P1, de la Ferrari LaFerrari, de la Porsche 918 Spyder et même les 1 200 ch de la Bugatti Veyron Grand Sport Vitesse Rembrandt Bugatti ! Vous avez sous les yeux la plus extravagante des supercars ou des hypercars actuelles : la Koenigsegg Agera One:1.



Elle doit son nom à son rapport poids puissance : autant de kilos que de chevaux. Sachant qu’elle pèse 1 340 kg, vous en déduisez sa puissance. Phénoménale ! En fait, cela correspond à 1 000 kilowatts, soit 1 mégawatt. Se mettra-t-on bientôt à parler de « mégacar » ?


La plus rapide, c’est la One:1 !
Salon de Genève 2014 1 340 ch pour la Koenigsegg Agera One:1L’Agera One:1 est dérivée de l’Agera S, qui développe déjà 1 115 ch. Le V8 5.0 litres a été boosté de manière à permettre à ce modèle d’atteindre les 440 km/h en vitesse de pointe. Ce qui lui permettrait de revendiquer le titre de voiture la plus rapide du monde, devant la Hennessey Venom GT (435 km/h) et la Bugatti Veyron Super Sport (431 km/h).

Une telle performance – qui n’a pas encore été réalisée concrètement – serait rendue possible non seulement grâce à la puissance, mais aussi au couple disponible très tôt : plus de 1 000 Nm entre 3 000 et 7 500 tr/min, avec une pointe à 1 371 Nm à 6 000 tr/min. Il faut 20 secondes pour passer de 0 à 400 km/h et seulement 10 secondes pour revenir à l’arrêt.




Aérodynamisme actif
Salon de Genève 2014 1 340 ch pour la Koenigsegg Agera One:1Bien entendu, l’aérodynamisme a été particulièrement travaillé, et il est impossible de manquer l’énorme lame et les deux paires d’ailettes à l’avant, ainsi que le gigantesque aileron arrière à double étage. Il s’agit d’éléments actifs qui accompagnent un châssis en fibre de carbone, 20% plus léger que celui de l’Agera R.

Le plus impressionnant est que tout cet attirail aérodynamique, ainsi que la suspension, sont gérés et contrôlés en amont, grâce aux données fournies par le GPS sur le relief de la route. Du coup, ce bolide surpuissant est capable de produire 610 kg d’appui aérodynamique à 260 km/h, et les passages en courbes peuvent vous faire encaisser jusqu’à 2G latéraux.



Les rares propriétaires, ayant déjà tous réservé leur exemplaire, pourront utiliser une application iPhone permettant d’enregistrer des relevés télémétriques, mais aussi de mettre à jour le logiciel de contrôle de l’auto. Koenigsegg pourrait reprendre à son compte le slogan « Performance through technology ».

Source : Argus.fr

14/11/2014

L’Audi R8 la plus puissante jamais produite!

L’Audi R8, qui en est sa 7ème année de commercialisation, est sur le point de laisser sa place à une nouvelle génération. Malgré cet âge avancé, elle bénéficie pour le salon de Los Angeles d’une nouvelle déclinaison : la Competition.
 

Une appellation qui est tout sauf usurpée, puisque cette R8 Competition ne constitue pas moins que la R8 la plus puissante jamais produite! Son V10 5,2 L développe en effet 578 ch, ce qui lui permet de croiser à près de 320 km/h. Le 0 à 96 km/h est quant à lui bouclé en seulement 3,2 secondes. Côté transmission on retrouve une boîte S Tronic à 7 rapports.

De nombreux éléments de cette R8 Competition sont en carbone, comme le spoiler avant, les pontons latéraux, l’aileron ou le diffuseur arrière.



La R8 Competition se dote en outre de freins céramique

Cette R8 dispose d’un échappement sport avec sorties peintes en noir brillant


 

Ce raffinement se retrouve à l’intérieur, avec des placages carbone pour la console centrale, ou des seuils de portes illuminés estampillés « R8 Competition ».
 

Les clients à la recherche d’encore plus de distinction bénéficieront par ailleurs d’une large gamme de personnalisation, puisque cette R8 très spéciale fait partie de l’Audi Exclusive Line, qui permet de choisir une large palette de coloris extérieurs et intérieurs.



Le constructeur annonce par ailleurs que seulement 60 exemplaires seront produits, et qu’ils seront tous réservés au marché américain. 


Source : blog-moteur.com

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