Saleen S302 Black Label : une Mustang sur-vitaminée de 730 ch

Lancée l'an passé aux Etats-Unis, la nouvelle génération de Mustang inspire les préparateurs, dont le réputé Saleen qui, malgré les rumeurs de faillite, dévoile une version S302 Black Label au moteur V8 gavé à 730 chevaux.

Malgré les rumeurs de faillite, Saleen continue ses opérations et révèle une nouvelle version de sa préparation Mustang S302, estampillée Black Label. Le vœu du fondateur Steve Saleen, qui a créé son atelier en 1984, était de concevoir « la plus aboutie et avancée des Mustang » de l'histoire de la firme, ce qui serait le cas « de très loin ».



730 chevaux !
Effectivement, la « pony-car » de Ford, qui développe au mieux 431 chevaux sur sa version V8, voire 550 chevaux sur la Shelby GT350, voit son moteur 5,0 litres escalader à quelques 730 chevaux, et s'octroie un couple de 813 Nm. « Depuis le début du projet, nous avions toujours voulu créer la plus puissante des Mustang que nous avons jamais créés », raconte le chef ingénieur Sven Etzelberger, « je peux dire avec bonheur que nous avons atteint cet objectif avec succès ».
 

Outre le gavage mécanique, Saleen a travaillé les suspensions, indépendantes aux 4 roues, ajouté des ressorts et amortisseurs maison afin d'améliorer la tenue de route, tandis que les jantes 20 pouces sont disponibles en différentes finitions. L'aérodynamique a également été soignée pour augmenter l'appui, via l'aileron arrière ou encore l'allongement de la partie avant.



Disponible en version coupé et cabriolet, la Saleen S302 Black Label est affichée au prix de 73.214 dollars (environ 66.700 euros), mais disponible seulement en Amérique du Nord.

Source : tf1.fr

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Un BMW Z4 GTLM avec une livrée historique

Il y a 40 ans, BMW Motorsport passait la ligne d’arrivée du circuit de Sebring en tête avec une BMW 3.0 CSL. Pour cette édition des 24 Heures de Sebring, la marque bavaroise a dévoilé un Z4 GTLM aux couleurs de sa devancière.

Présentée dans le cadre du Concours d’Elégance d’Amelia Island, ce BMW Z4 sera appelé à représenté la marque en Floride, sur le célèbre circuit américain.

Et cette édition est placée sous les célébrations d’un anniversaire, celui de la victoire de la marque avec la 3.0 CSL N°25 pilotée le couteau entre les dents par Brian Redman, Sam Posey et Hans-Joachim Stuck.

Décoré de la plus belle des manières, le Z4 GTLM aura pour mission de répéter l’histoire ce weekend.Nous l'esperons pour l'équipe bavaroise.

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La nouvelle Renault Alpine s'appellera AS1

Attendue en 2016, la Berlinette Renault-Alpine de nouvelle génération portera le nom de AS1, pour Alpine Sport 1. Par la suite, des AS2, AS3, etc. pourraient voir le jour car un haut dirigeant de Renault confirme que le retour de l'iconique marque sportive se fera par le biais de toute une famille de modèles.



Alpine Sport 1, ou AS1 : tel est le nom qui a été choisi en haut lieu chez Renault et Renault Sport pour baptiser la nouvelle Alpine moderne qui sera commercialisée en 2016. Ce sont nos confrères britanniques d'Auto Express qui vendent la mèche, citant Bruno Ancelin, vice-président exécutif de Renault.



"Nous travaillons sur ce premier modèle, sachant qu'en plus de lui, nous travaillons aussi sur une gamme complète. Le premier modèle, que nous appelons AS1 pour Alpine Sport 1, sera vraiment une base pour les modèles complémentaires que nous avons en tête."



Une gamme Alpine
Au détour de ces deux phrases, on apprend en fait deux choses. Le nom de la Renault Alpine AS1 bien sûr, mais aussi le fait qu'elle ne sera pas seule dans la gamme. Si la cible de l'AS1 ressemble fortement à l'Alfa Romeo 4C, c'est carrément des marques comme Audi et Porsche qui seront visées par les prochains modèles.
Pour cela, après avoir été lâché en cours de route par Caterham, la nouvelle Société des Automobiles Alpine puisera dans tout le savoir-faire de l'Alliance Renault/Nissan, et même chez son associé Mercedes-Benz.



A terme dans la gamme Alpine, on pourrait aussi voir arriver un modèle plus "pratique" type coupé 4 places, mais aussi un modèle hybride. "Ce qui est sûr, c'est que nous ne pouvons faire revivre la marque avec un seul modèle" poursuit M. Ancelin. La question du SUV sera même posée en interne... Mais attention à ne pas faire n'importe quoi, Alpine, c'est sacré et c'est sérieux !


Source : larevuautomobile.com

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Ferrari 488 GTB, le turbo prend le pouvoir

Dévoilée en amont du Salon de Genève 2015, la nouvelle Ferrari 488 GTB profite de l'évènement suisse pour s'offrir un premier grand bain auprès du public et dévoiler ainsi son V8 biturbo capable de cracher la redoutable puissance de 670 chevaux.

Après cinq ans de bons et loyaux services, le fleuron de Ferrari, la 458 Italia, change de peau et s'offre une nouvelle vie via le patronyme de 488 GTB. Présentée lors d'un évènement privé à Maranello avant le Salon de Genève 2015 qui a débuté ce mardi 3 mars, le bolide italien s'offre une révolution avec un moteur biturbo, à la sonorité certes moins envoutantes mais aux performances remarquables.

670 chevaux prêts à passer le turbo



Esthétiquement, la nouvelle bombe transalpine est encore plus rageuse que sa devancière. Les bases de la 458 Italia demeurent en filagramme mais plusieurs éléments font que cette 488 GTB est différente et plus radicale. Le bouclier apporte ainsi deux piliers centraux et le capot avant se veut plus ajouré tandis que les prises d'air latérales se retrouvent désormais sur les ailes. A l'arrière, le tout semble plus raffiné, renvoyant au design de la Sergio, même si la double sortie d'échappement évoque très fortement la Speciale.



Mais au-delà toutes ses considérations stylistiques, c'est ce qui se cache sous le capot arrière qui fait office de grosse nouveauté. Au programme : un V8 biturbo capable de cracher 670 chevaux pour un couple de 760 Nm, sachant que le régime offrira le plein de puissance à 8.000 tr/min contre 9.000 pour de la 458 Italia qui disposait d'un V8 atmosphérique envoyant 570 chevaux et 540 Nm de couple. Des chiffres impressionnants qui sont clairement destinées à s'attaquer aux rivales Lamborghini Huracan (V10 de 610 chevaux pour un couple de 560 Nm) et autres McLaren 650S (V8 de 650 chevaux pour un couple de 678 Nm).

8,3 secondes pour un 0-200 km/h



Avec cette cavalerie de choix, le nouveau bolide transalpin, qui pèse au passage 1.370 kg, est paré pour aligner des performances remarquables et cela se voit notamment par rapport à la Speciale. Sur le 0-100 km/h, il faut trois secondes aux deux modèles afin de faire parler la poudre mais cela se corse sur le 0-200 km/h où l'exercice est abattu en 8,3 secondes pour la 488 GTB contre 9,1 secondes pour l'évolution radicale de la 458 Italia. Le dernier né de Maranello dispose également d'une vitesse de pointe indiquée à plus de 330 km/h et a signé le chrono du circuit de Fiorano en à peine une minute et 23 secondes (soit cinq dixièmes de plus que la Speciale et 1,5 seconde d'avance sur la 458 Italie "de base").



Pour l'heure, aucun prix n'a officiel n'a été apposé par la marque italienne, même si ce dernier devrait tourner autour des 220.000 euros. Le modèle devrait quant à lui être lancé au printemps et le grand public pourra admirer ses formes à l'occasion du, Salon de Genève 2015. Une belle nouveauté de plus en ce début d'année puisqu'il ne faut pas oublier la FXX K, dont la vidéo est à découvrir ci-dessous.

Source : tf1.fr

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Evora 400 : découvrez la plus puissante des Lotus

Avec cet Evora 400, Lotus fait son entrée dans un monde inconnu de la marque jusqu’alors !

Lotus dans un nouveau monde !

En présentant l’Evora 400 à Genève, Lotus fait son entrée dans le monde très fermé des “Supercars”… Carrément ! Une petite bête de 406 cv précisément, le système anglo-saxon “mangeant” toujours quelques chevaux par rapport au nôtre, d’où le nom de 400. On pourrait se dire que cette puissance n’a rien d’exceptionnel. Mais avec 1400 kg annoncés, soit quelques kilos de gagnés par rapport à l’ancienne Evora S, elle annonce un 0 à 100 km/h en 4.2s et la barre des 300 km/h serait franchi. Soit des chiffres, un soupçon meilleurs qu’une certaine… Porsche 911 Carrera S. Pas mal comme ligne de comparaison. Connaissant l’efficacité des châssis Lotus, d’autant que cette mouture bénéficie d’amélioration au travers d’une nouvelle coque aluminium, Porsche peut avoir quelques raisons de monter un peu en pression.

Et le design

Le style a lui aussi beaucoup évolué, il entre lui aussi dans une nouvelle ère ! Les traits sont plus tirés, plus tendus, plus racés et c’est assez nouveau chez Lotus qui avait plutôt pour habitude de cultiver les rondeurs. On sent beaucoup de maturité dans ce nouveau design qui lui offre un visage beaucoup plus premium que par le passé. Et ce, pour l’extérieur et l’intérieur. Finalement la recette qui consiste à faire du neuf avec du vie

ux peut être très séduisante lorsque c’est bien fait et il semblerait que Lotus soit passé maître dans cet art ! Souvenez-vous, il nous avait déjà fait le coup avec le restylage de l’Exige S qui a permis à Lotus d’augmenter les ventes du modèle de plus de 50% en 2014.

À quand cette future bombe sur nos routes ?

Lotus annonce une entrée en production à partir de cet été, pour une présence sur nos routes dès le mois d’août ! Un peu plus tard aux États-Unis, en septembre. Ne manque plus que le tarif, qui lui arrive toujours en dernier.

Et l’intérieur, au niveau ?

Et bien il a lui aussi bénéficié d’un traitement spécifique. L’objectif étant d’optimiser l’ergonomie et de faire monter en gamme l’impression de rendu intérieur. Et, grande nouveauté, que dis-je, révolution, elle sera équipée d’un… repose-pied pour le conducteur. Oui je sais c’est mesquin, mais bon, ne pas y avoir pensé avant, ça mérite bien une petite pointe d’ironie !

Bref, restons concentré sur ce nouvel opus et félicitons Lotus de nous offrir une voiture hyper sportive digne de ce nom et non plus un engin simplement fantastique sur circuit mais difficile à vivre au quotidien. Quand je vous dis que Lotus est à maturité, il se permet même une certaine… polyvalence. Oulah comme j’y vais ! Jamais je n’aurais pensé utiliser ce qualificatif pour Lotus. Les temps changent et c’est bien ainsi !

Source : blog-moteur.com

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McLaren P1 GTR

Une des autos à ne pas louper au salon de Genève cette année, c’est bien la Sculturale McLaren P1 GTR. Présentée dans une livrée jaune et verte, histoire de remémorer les bolides de la marque engagés aux 24H du Mans il y a quelques années, et notamment la McLaren F1 GTR n°51 de 1995.

Cette bête de circuit est encore plus belle en vrai qu’en photos. Les moindres détail jupes, écopes, mini ailerons, les rétroviseurs, ont travaillé de façon à améliorer l’aérodynamique et ainsi les performances de l’auto. Ainsi la portance atteint 660 kg d’appui à 240 km/h.

McLaren P1 GTR, circuit only

Déjà relativement brutale en version « de base », la GTR affiche évidemment son lot d’améliorations par rapport à la P1 classique, avec notamment une puissance en hausse de 84 ch, pour un poids réduit de 50 kg (1345kg pour la GTR). Ainsi son moteur V8 hybride bi-turbo de 3800 cm3 voit sa puissance bondir de 916 à 1.000 chevaux, le moteur thermique évoluant de 737 à 800 chevaux tandis que le bloc électrique passe de 179 à 200 chevaux.

Des performances hors du commun

Avec une telle auto, les performances seront exceptionnelles sur piste. Pour rappel, la P1 d’origine peut abattre le 0-100 km/h en à peine 2,8 secondes pour une vitesse maximale de 350 km/h. La trentaine d’acquéreurs qui auront débourse les 2,5 millions d’euros pour la posséder participeront à un programme d’entrainement sur le simulateur maison, puis des essais sur le circuit de Silverstone.

Source : blog-moteur.com

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Koenigsegg Regera, une Mégacar hybride de 1500 chevaux

Koenigsegg profite du salon de Genève pour dévoiler sa nouvelle arme de destruction massive : la Regera, une Mégacar hybride de 1.500 ch!

Une page se tourne pour les hypercars. Alors que la Bugatti Veyron tire sa révérence après 450 exemplaires produits, une nouvelle génération est déjà sur les rangs : McLaren P1, Ferrari LaFerrari, et Porsche 918. Leur point commun? Une motorisation hybride essence/électricité. Une nouvelle et redoutable concurrente les attend déjà : la Koenigsegg Regera (Regera signifie régner en Suisse), qui est présentée au Salon de Genève.

Cette dernière reprend la motorisation de sa petite soeur, l’Agera, à savoir un V8 5,0 L bi-turbo développant 1.100 ch. Par rapport à cette dernière, elle rajoute toutefois une combinaison de 3 moteurs électriques, qui développent au total 700 ch, pour une puissance cumulée quand les 2 modes de propulsion travaillent de concert de 1.500 ch (2.000 Nm de couple!). La voiture peut d’ailleurs être conduite en mode électrique pur.

Cette puissance phénoménale, associée à un poids très contenu (la marque annonce 1.420 kg à sec, et 1.628 kg en ordre de marche, tous pleins faits), permet à Koenigsegg d’annoncer que sa Regera est la voiture de série la plus puissante jamais produite, et celle qui accélère le plus fort : le 0 à 400 km/h serait ainsi expédié en moins de 20 secondes (!). Le 150 à 250 km/h serait quant à lui pulvérisé en 3.2 secondes…

Ces performances extrêmes sont associés à des liaisons au sol à la pointe : éléments aérodynamiques actifs (dont un très imposant aileron arrière), suspension hydraulique. La Regera reçoit par ailleurs un système d’échappement en Titanium développé avec Akrapovic. Elle ne sera produite qu’à 80 exemplaires.

Source : blog-moteur.com

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Bugatti Veyron La Finale, dernière d'une ère

La photo ci-dessous résume tout : le premier modèle Bugatti Veyron sorti voilà 10 ans et 450 exemplaires plus tard, l'ultime "La Finale" découvrable de 1.200 ch est dévoilée à l'occasion du salon suisse, marquant la clôture d'une ère pour le constructeur alsacien.

C'était donc il y a 10 ans, à l'automne 2005, que la Bugatti Veyron 16.4 naissait. Depuis, elle n'a que peu changé, avec des phares dotés de diodes, une déclinaison découvrable Grand Sport, une version plus puissante Super Sport voire, le mélange des deux Grand Sport Vitesse. Avec un prix moyen de 2,3 millions d'euros pièce, les 450 exemplaires ont mis beaucoup de temps à trouver preneur. Enfin, la der des ders s'illustre pour ce Salon de Genève, la fin d'une époque, à travers l'ultime unité nommée « La Finale ».

Comme vu ces dernières semaines, cette exécution unique commandée par un client du Moyen-Orient (de grandes chances que ce soit précisément à Dubai ou Abu Dhabi) ne fait pas dans l'extravagance, voire dans une certaine timidité. Hormis les inscriptions « La Finale » dans le bouclier avant et l'aileron arrière, la robe se pare d'un simple duo bordeaux/noir, presque en réponse au modèle #1 de 2005.

Pas de surprise non plus côté mécanique, puisque la base est celle de la Grand Sport Vitesse, le modèle à toit escamotable au moteur W16 8,0 litres quadri-turbo calibré à 1.200 chevaux et 1.500 Nm. Le 0-100 km/h sera, comme les autres unités, avalé en 2,6 secondes, pour une vitesse de pointe dépassant les 400 km/h (le modèle record avait atteint 408,84 km/h).

Ce modèle Bugatti Veyron Grand Sport Vitesse La Finale sera exposé au Salon de Genève le 3 mars 2015, et au public du 5 au 15 mars. Quant au future de la marque, nous espérons toujours la nouvelle génération Chiron, probablement présentée à Francfort en septembre prochain.

 Source : tf1.fr

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McLaren veut montrer qui est le patron avec la 675 LT

McLaren veut mettre les points sur les i… de Ferrari

Porsche nous promet une GT3 RS de 500 cv, Ferrari proposera d’ici peu une 488 de 670 cv. McLaren veut mettre tout le monde d’accord avec sa future 675 LT qui, comme son nom l’indique, affichera 675 cv ! Mais plus que la puissance brute, c’est la conception qui est profondément revue avec 30% de pièces neuves ! Résultat : une aéro plus performante et moins 100 kg sur la balance… Phénoménal !

Ferrari met un genou à terre

Porsche est loin derrière, même si sa future GT3 RS sera une des futures stars des circuits, elle ne peut rien faire, battue par KO par les deux autres concurrentes. Alors reste Ferrari qui avec sa future 488 semblait avoir repris la tête. Mais c’était sans compter la réaction de McLaren qui vient coiffer sur le poteau la firme de Maranello. Non seulement elle affiche 5 petits chevaux de plus que la future 488, mais elle gagne 100 kg par rapport à la 650s, soit 1230 kg à sec, mais surtout 140 kg de mieux que la 488 ! En gros vous mettez un V8 BiTurbo de 675 cv dans une Clio RS… L’aérodynamique est à l’avenant avec un aileron proposant une surface augmenté de 50% par rapport à son ainée, sachant qu’il fait office également d’aérofrein, ça promet des décélérations canons. Indispensable pour claquer un chrono sur circuit.

Parlons chronos

Ces quelques chiffres vous laissent perplexes sur le fait que la McLaren 675 LT puisse mettre une fessée à la Ferrari 488 ? Passons donc aux choses sérieuses. Le 0 à 100 km/h et annoncé par McLaren à 2,9 secondes, Ferrari s’avoue vaincu avec 3 secondes annoncé. Ça tourne à l’humiliation sur l’exercice, plus exigeant, du 0 à 200 km/h avec 4 dixième de retard pour Ferrari. 7,9 secondes pour McLaren et “seulement” 8,3 secondes pour Ferrari. Ferrari relève la tête avec une vitesse de pointe identique à 330 km/h. Tous ces chiffres sont théoriques, mais aujourd’hui les constructeurs sont assez réalistes sur leurs données “commerciales”. Reste un juge de paix, le circuit. Mais pour cela il faudra attendre encore quelques mois pour être fixé… ça va être long.

Source : blog-moteur.fr

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