Avec cet Evora 400, Lotus fait son entrée dans un monde inconnu de la marque jusqu’alors !
Lotus dans un nouveau monde !
En présentant l’Evora 400 à Genève,
Lotus fait son entrée dans le monde très fermé des “Supercars”…
Carrément ! Une petite bête de 406 cv précisément, le système
anglo-saxon “mangeant” toujours quelques chevaux par rapport au nôtre,
d’où le nom de 400. On pourrait se dire que cette puissance n’a rien
d’exceptionnel. Mais avec 1400 kg annoncés, soit quelques kilos de
gagnés par rapport à l’ancienne Evora S, elle annonce un 0 à 100 km/h en
4.2s et la barre des 300 km/h serait franchi. Soit des chiffres, un
soupçon meilleurs qu’une certaine… Porsche 911 Carrera S. Pas mal comme
ligne de comparaison. Connaissant l’efficacité des châssis Lotus,
d’autant que cette mouture bénéficie d’amélioration au travers d’une
nouvelle coque aluminium, Porsche peut avoir quelques raisons de monter
un peu en pression.
Et le design
Le style a lui aussi beaucoup évolué, il
entre lui aussi dans une nouvelle ère ! Les traits sont plus tirés,
plus tendus, plus racés et c’est assez nouveau chez Lotus qui avait
plutôt pour habitude de cultiver les rondeurs. On sent beaucoup de
maturité dans ce nouveau design qui lui offre un visage beaucoup plus
premium que par le passé. Et ce, pour l’extérieur et l’intérieur.
Finalement la recette qui consiste à faire du neuf avec du vie
ux peut
être très séduisante lorsque c’est bien fait et il semblerait que Lotus
soit passé maître dans cet art ! Souvenez-vous, il nous avait déjà fait
le coup avec le restylage de l’Exige S qui a permis à Lotus d’augmenter
les ventes du modèle de plus de 50% en 2014.
À quand cette future bombe sur nos routes ?
Lotus annonce une entrée en production à
partir de cet été, pour une présence sur nos routes dès le mois d’août !
Un peu plus tard aux États-Unis, en septembre. Ne manque plus que le
tarif, qui lui arrive toujours en dernier.
Et l’intérieur, au niveau ?
Et bien il a lui aussi bénéficié d’un
traitement spécifique. L’objectif étant d’optimiser l’ergonomie et de
faire monter en gamme l’impression de rendu intérieur. Et, grande
nouveauté, que dis-je, révolution, elle sera équipée d’un… repose-pied
pour le conducteur. Oui je sais c’est mesquin, mais bon, ne pas y avoir
pensé avant, ça mérite bien une petite pointe d’ironie !
Bref, restons concentré sur ce nouvel
opus et félicitons Lotus de nous offrir une voiture hyper sportive digne
de ce nom et non plus un engin simplement fantastique sur circuit mais
difficile à vivre au quotidien. Quand je vous dis que Lotus est à
maturité, il se permet même une certaine… polyvalence. Oulah comme j’y
vais ! Jamais je n’aurais pensé utiliser ce qualificatif pour Lotus. Les
temps changent et c’est bien ainsi !
Source : blog-moteur.com